Marée noire: un défenseur des victimes poursuivi...
Mois de Mars 2004
Le parquet français de la Cour d'Appel de Roazon/Rennes a requis une peine de 12
à 18 mois de prison avec sursis contre Alain Malardé poursuivi pour avoir
détruit la vitrine du bureau du Fipol à Lorient, qui a , paraît-il, pour
fonctions d'indemniser les victimes de la marée noire de l'Erika.
Le parquet considère que cette action qui avait eu lieu fin 2001 ne doit pas
être considérée comme une action syndicale.
Le geste spectaculaire du fondateur et président a Confédération maritime
s'était fait sous les yeux ébahis de la police française.
L'affaire est mise en délibéré au 30 mars.
En décembre 2002, à Lorient, les juges avaient estimé qu'Alain Malardé devait
bénéficier de l'amnistie.